Additifs alimentaires Sara s arr a_ i ng@hot mai l . f r
Pl an
I. Introduction II. Historique III. Généralités: III.1 Définition III.2 Origine III.3 Aspect réglementaires IV. lassification V. !ro"l#me posés par l$utilisation des additifs VI. conclusion
I nt r oduct i on
Les consommateurs sont de plus en plus exigeants en matière gustative. Ils cherchent des produits bénéfiques pour la santé mais aussi des aliments qui « ont du goût », et une bonne qualité orga organo nole lept ptiq ique ue co coul uleu eurr att attir iran ante te,, bon bon text textur ures es et des produits qui se conservent longtemps... ! "insi, des ar#mes et des additifs sont fabriqués pour répondre $ ces demandes.
%es substances sont a&outées intentionnellement et en petite quantité $ un aliment au cours de sa préparation afin d'assurer une meilleure conservation ou de compenser la perte de qualités sensorielles. (lles peuvent )tre d'origine naturelle minérale, végétale ou animale!, issues de la transformation de substances naturelles ou obtenues par s*nthèse. +énéralement, les molécules naturelles sont souvent trop fragiles ou trop coûteuses pour une production industrielle. (lles laissent donc leur place aux produits de s*nthèse.
Hi s t ori que
"ntiquité utilisation du sel% pour conser&er les aliments rares '&iande par e(emple). (n (g*pte l$utilisation des épices et ar*mes ser&ait + améliorer l$aspect de certains mets. au début des années - un la"oratoire coopératif fran,ais pu"lia une premi#re étude sur des - su"stances &olontairement a/outées au( aliments 0.
(n octobre /012 parut un décret o"ligeant les industriels + inscrire sur leurs produits la liste des composants principau( et des produits d$addition. (n mai /034 ta"lissement de la numération con&entionnelle olorant '14155)6 onser&ateur'24255)7.. (n /033: /033: autorisation de l$utilisation des édulcorant.
+énéralités
5éfinition «toute substance habituellement non consommée comme aliment en soi et habituellement non utilisée comme ingrédient caractéristique dans l6alimentation, possédant ou non une valeur nutritive, et dont l6ad&onction intentionnelle aux denrées alimentaires, dans un but technologique au stade de leur fabrication, transformation, préparation, traitement, conditionnement, transport ou entreposage, a pour effet, ou peut raisonnablement )tre estimée avoir pour effet, qu6elle devient elle m)me ou que ses dérivés deviennent, directement ou indirectement, un composant des denrées alimentaires. »
8rigine naturel "dditifs alimentaires
obtenus par modification de produits naturels s*nthétiques
identiques au( naturels
artificiels
"9:(%;9 <=+L(>(?;"I<(9 !our 8tre accrédité un additif alimentaire doit : 8tre tec9nologiquement nécessaire% répondre + un "esoin 6 a&oir un r*le d$amélioration sur la conser&ation% la sta"ilisation ou les caract#res organoleptiques 6 aider + la fa"rication% l$em"allage% le transport 6 ne présenter aucun danger pour la santé au( doses utilisées 6 8tre soumis + des essais to(icologiques permanents 6 répondre + des crit#res de pureté spécifiques 6 8tre emploé dans des conditions précisées par produit et par dose% tenant compte de la dose /ournali#re admissi"le et des apports faits par l$ensem"le des aliments.
L'(>:L8I 5(9 "55I;I@9 (9; I?;(<5I; 5"?9 L(9 %"9 9AIB"?;9 induire le consommateur en erreur. Lorsqu'il diminue sensiblement la valeur nutritive d'un aliment. Lorsqu'il dissimule les effets défectueux de fabrication. Lorsque l'effet désiré peut )tre obtenu par des méthodes de fabrication économiquement économiquement et techniquement techniquement satisfaisante.
"A;8I9( 9A< L( >"<%C=
Le fabricant doit élaborer trois dossiers An dossier technique An dossier toxicologique 5ossier anal*tique
5=?8>I?";I8?
( DDD indiquant la provenance E(E pour communauté européenne!
%atégorie
%L"99I@I%";I8?
Les additifs sont classés principalement en quatre familles les colorants '1 colorants '1 +155) les conservateurs '2 conservateurs '2 +255) les antiFox*gènes '3 antiFox*gènes '3 +355) les agents de texture '; texture '; +;5<) 5e (4 $(/44: $(/44: les acidifiants% les ar*mes% les e(9austeurs de go=t et surtout les édulcorants. !armi ces derniers% l$aspartame '5<1) est le plus connu. >oute présence d$additif alimentaire doit 8tre stipulée sur l$étiquette 'aucune loi n$o"lige + mentionner le dosage). Ils sont mentionnés par ordre quantitatif décroissant.
:roblème posés par l'utilisation des additifs
B. :roblèmes posés par l'utilisation des "." 8n peut classer les additifs alimentaires dans trois catégories
FLes additifs inoffensifs pour la santé. F Les additifs avec une polémique certains rapports de santé dans le monde considèrent que l'additif comporte un danger et d'autres non. FLes additifs dangereux pour la santé
%8>>(?; (9; 5=@I?I L( 589"+( >"DI>A> "A;8
? partir d@études to(icologiques sur des animau(% fondées sur une ingestion de l@additif étalé sur toute une &ie% on définit un seuil d@ingestion de l@additif au dessus duquel apparat un signe de to(icité. e seuil est e(primé en mg par Bg de poids de l@animal et par /our. !uis on définit la Dose Cournali#re Admissi"le 'D.C.A.) en mg par Bg corporel applica"le + l@9omme en di&isant la &aleur seuil par un coefficient de sécurité de 1. nfin% on utilise la quantité pro"a"le moenne de l@aliment que le consommateur mangera par /our 'statistiquement) pour calculer le dosage ma(imum de l@additif dans l@aliment. e calcul est nécessairement appro(imatif car les 9a"itudes alimentaires sont tr#s &aria"les.
Quel queexemp mpl esdesaddi t i f squi pr és ent entundangers url as ant é
A s part ame:E951
Pr odui tdes ynt hès e
Édul corant s:conf èreungoût sucréàl ’ al i ment
Ut i l i s é:boi s s on;al i ment sl i ght s ; pât i s s er i esi ndus t r i el l es
DJA:40mg/ kg/ j our L orsdel adi gest i on,l ' aspart ame per dsongroupeme ment hydroxymé mét hyl( mét hanol ,comp mposé t oxi que) ,pui ssedécomp mposeenses deuxaci desami nésdebase,l ' aci de aspart i queetl aphényl al ani ne.
Lemé mét hanolàl ados ede200500mg/ kgde poi dscorporeladeseffet st oxi quesetri s que d' engendrerdest roubl esdel avi s i onai ns ique dus ys t ème menerveuxcent r al .Lemé mét hanoles t danger euxpourl ' homm mmeàt r opf ort e concent rat i on.Tout ef oi s,dèss af orma mat i on,i l es ti mmédi at eme mentr ej et éparl ' organi s mepar l ar es pi r at i on.
Part i cul i èr eme mentdangereuxpourl es per s onness ouf r antdephényl cét onuri e
Laphényl cét onuri e es tune mal adi egénét i que caus erparl ’ accumul at i on dephényl al ani ne dansl es ang
Chezl esphényl cét onuri ques, l at rans f orma mat i on del aphényl al ani nenepeutpas s epr odui r eetl a phényl al ani nes ' accumul eal or sdansl esang. g. L' excèsdephényl al ani nees tt oxi quepourl e s ys t ème mener veux,etpert ur bel edével oppeme ment ducerveaud u del ' enf ant ,ent raî nantunret ard ment al .
quandl ' as part ame mees ts oumi sàunet emp mpér at ur e audel àde30° C( quandonl ' aj out eaucaf éouau t hé,oudèsqu' unpr odui tcont enantcet t e s ubs t ancees tt r ans por t él ' ét é) ,l ' al cool mét hyl i quedel ' aspart ame mes et r ans f orme meen f ormal déhyde( carci nogèneconnu,dumême me groupededr oguesquel ecyanureetl ' ars eni c, poi s onsmort el s )pui senaci def ormi mi que ( r es pons abl esdet umeur saucerveau)qui ,àson t our ,causel ' aci dosemé mét abol i que.
Enout re,l ' aci deaspart i queetl a phényl al ani nes ontdesneurot oxi ques,i l s cons t i t uentdesprot éi nes,qui ,al orspass ent l abarri èr es angui neducerveauet dét éri or entl esneur onescequicondui tà despert esdemé mémo moi r eetàd' aut r es s ymp mpt ôme mest r èscomp mpl i qués .
NI TRI TEDEPOT OTASSI UM Ni t ri t edepot assi um E249 C onservat eur:prol ongel aduréede conservat i ondesal i ment senl es prot égeantcont rel esal t érat i onsduesaux mi croor gani smes Or i gi nechi mi que/ mi néral( seldel ’ aci de ni t reuxcomb mbi néaupot assi um) DJ A :0-0, 06mg. / kg.dema masse corporel l e/ j our
Ut i l i s é:t rèsr épondudansl es charcut eri es
I lsecomb mbi neavecl esprot éi nesdel avi ande pourdonnerdesni t rosami nesqui provoquerai entc hezl eratdescancersàl a– f ai bl e-dosede5mg/ kg. Transf ormeenni t rat edansl ’ organi smequi aussicancéri gène L’ associ at i ondeni t ri t esavecl esE200 à203( aci desor bi queetsor bat es)donnedes composésmut agènes. Chezl enourri sson,l esni t ri t espeuvent provoquerl amortparasphyxi e( i l s emp mpêc hentl esGRdet ransport erlO2). •
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LeNi Ni t ri t eetl eNi Ni t rat edesodi um ( E250–E251) CONSERVATEUR Ni t ri t edesodi um E250 oOr i gi nechi mi que/ mi néral( seldel ’ aci de ni t reuxcomb mbi néausodi um) o DJ A:0-0, 06mg mg. / kg.dema mass ec orporel l e / j our o
Ut i l i s é:s eul eme mentpourl esvi andeset charcut eri es o
Ni t r at edesodi um E251 oOr i gi nec hi mi que( ) s al pêt reduChi l i o
Ut i l i s é :pourl esvi andes ,c har c ut er i es etl esf roma mages o
DJA:0-0, 06mg mg. / kg.dema mass ec orporel l e / j our o
Laprésencedeni t ri t esdansl esangemp mpêc hel e t ransportdel ' oxygène,avecàdoseconséquent eun ri squedemét hémo mogl obi némi mi e.At t ent i on part i cul i èreme mentauxenf ant squisontpl us sensi bl esquel esadul t es,onconnai taussil eri sque a d i eb l e u ed un o u r r i s s o n del amal I lpeutaussiprovoque:dest ruct i ondevi t ami nes. S urpersonnessensi bl esouexposées:mi grai nes, nausées,vomi mi sseme ment s,ét ourdi sseme ment s,effet s vasodi l at at eurs,hypert ensi on,t roubl esgast roi nt est i naux,réact i onshi st ami ni ques( al l ergi es) , symp mpt ômescut anéomuqueux.
l esni t rat esf orme mentdesni t ri t esquif orme mentàl eur t ourdesni t rosami mi nescancéri gènes
Lesni t ri t essontdesaddi t i f sal i ment ai res gènes présent antuncaractèrecancéri ’ i l ssont consomm mmésent ropgrandesquant i t és:i l s réagi ssentdansl ’ est oma mac( présenced’ aci de c hl orhydri que,soi tunpH aci de)avecl af onct i on ami nedesaci desami nésetdesprot éi nespour donnerdesni éact i on sur t r os ami nesquiparr l ’ ADN provoquedespert urbat i onsl or sdes répl i cat i onsc el l ul ai res,doncàt erme medescancers.
Al umi ni um E173 Col orant:aj out edel acoul euràunedenrée al i ment ai reourét abl i tsacoul eurnat urel l e Or i gi ne:mi néral DJ A:Nonl i mi t éeounonspéc i fiée Ut i l i s é: présent edansunemu mul t i t udedeprodui t sde consomm mmati on.Agentl evantdansl epai n, conservat eurdansl escharc ut eri esetl espl at s préparés,ant i aggl omé mérantdansl esel ,col orant dansl esconfiser i es. I lent reaussidansl acomp mposi t i ondecosmé mét i ques-i l f aci l i t el apénét rat i ondescrème mes,durci tl everni s, bl anchi tl esdent s,bl oquel at ranspi rat i on-etl es l aborat oi respharma maceut i quesl ' ut i l i sentcomm mme adj uvantdansdesmédi came ment setdesvacci ns.
Unepart i edel ’ al umi ni um estél i mi ner nat urel l eme mentparl esuri ne,l ’ aut repasseà t raversl ’ i nt est i n grêl eversl esangetl ' aci de ci t ri quequ' ont rouvesouventdansl al i monade f aci l i t esont ransportversl ecerveau. C ’ estpourçal ' al umi ni um estauj ourd' hui consi dér éc omm mmeunneurot oxi que. I li nt ervi endrai tnot ammentdansl e décl enc heme mentdel amal adi ed' Al zhei meret Parkinson etl ' hydroxyded' al umi ni um présentdansl es vacci nsprovoquechezc ert ai nsunema mal adi egrave :l amyof asc i i t eàmacrophages.
Addi t i f setcos mét i que:
BHTetBHA :
BHT :but yl hydroxyt ol uène, onpar l e souvent det ol uène t outcourt . B HA :but yl hydroxyani sol e. C esontdesant i oxydant s,doncdes conservat eurs.I l semp mpêchent ,parexemp mpl e,l e ranci sseme mentdescorpsgras. Ut i l i sé surt outdansl essavons.
I l ss' accumul entdansl est i ssusadi peux du corpsetpeuventat t ei ndre l ef œt us.On l es soupçonne f ort eme ment ,sui t eàdi verses expéri ences surl esani maux, d' êt re cancéri gènespourl ' homm mme:onaconst at équ' i l s provoquai entc hezl ' ani maldest ransf orma mat i ons dusyst ème me i mmuni t ai re etde l acomp mposi t i on dusang. o npeutremp mpl acercet ypedeprodui t spardes subst ancessansdanger .l ' aci dephyt i que,par exemp mpl e,cont enunat urel l eme mentdansl es céréal es, quel ' on ext rai tduson deri z,est unebonneal t ernat i ve.
Less el sd' al umi ni um :
Cesontdescomp mposésàbase d' al umi ni um,di t s sel si norgani ques,sul f at es,ni t rat esetchl orures d' al umi ni um not amment ,etceuxci ,ét ant sol ubl es,sont pot ent i el l eme mentt oxi ques.Leur ab-sorpt i on estf aci l i t ée parl a présence d' aci de,not amment l ' aci deci t ri que. L essel sd' al umi ni um sontut i l i sésdansl es déodorant s etl esant i perspi rant s dans l esquel sl a proport i on peutal l erj usqu' à 25 %.
Onl esoupçonne def avori serl a mal adi e d' Al zhei mer etd' avoi r unpouvoi rcancéri gène ( cancerdusei n) .Chezl ' ani mal ,i lpeutf rei ner f acroi ssance desorganes reproduct eurs.
I névi t abl escol orant s:
Cesontdescol orant sdi t sazoï quesi ssusde goudronsynt hét i que,i l sprésent entausei n de l eurmol écul e ungroupeme mentazoï que rel i ant deuxnoyaux benzéni ques.Cesontdesdéri vés del a pét roc hi mi e.Cet t ecat égori e decol orant estact uel l eme mentl apl usrépandue. I l sontévi demm mmentl abasedet outl e maqui l l age:Fardsàpaupi ères,rouges àl è v r e s , poudres,f ondsdet ei nt L escol orant s azoï ques sontégal eme ment ut i l i sés dansl ' i ndust ri edest ext i l esetdes cui rs.Cert ai nsontét éi nt erdi t spourl es t ext i l espouvantt ouc herl apeauhumai ne par l a di rect i ve 2002/ 61/ CE.
I l speuventt raverserl apeau etl éserl ef oi e en l i bérantdel ' ani l i ne,comp mposant t rèst oxi que et cancérigène. Onr econnaî tégal eme mentauxcol or ant sazoï ques uneffetal l ergi santenpart i cul i erpourl es personnes al l ergi quesàl ' aspi ri ne.
Formal déhyde,
Cesontdesc onservat eurspui ss ant s, ant i bact éri ennesetdurc i sseurs. L ef ormal déhydepeuts' yprésent ersousdeux f ormes: l ef orma mal déhydel ui même me,quipeuts' appel er f orma mal dehyde,f ormo mol ,f ormi mi cal dehyde,et c l arési nedef orma mal déhydeout osyl ami de, Ut Ut i l i serdansl esverni setl esrenf orç at eurs d’ ongl es
I l ssontt rèsdangereuxcaral dehydepénèt ret rès f aci l eme mentdansl escel l ul esdonti l speuvent dénat urerl esprot éi nes. L ecent rei nt ernat i onalderecherc hesurl e cancerl ’ àcl ass éc omm mmesubst ancec ancéri gène.
Concl us i on
>algré que les additifs alimentaires &ouent plusieurs r#les facilité les procédés de fabrication, assuré une bonne conservation des aliments on les protégeant, améliorer leurs qualité constituants, texture, couleur, ect..! et malgré qu6on les prend a des faible dose mais plusieurs recherches scientifiques montre que la toxicité de ces additifs est très importante et peut engendre beaucoup de maladie et m)me peut conduit a la mort 5onc fait attention a l'usage de ces additifs et vérifier bien l'étiquetage de chaque produit avant l'utiliser.