qwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwerty uiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasd fghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzx cvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmq Conversion des comptes des entreprises étrangères wertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyui Consolidation des comptes opasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfg hjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxc vbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmq wertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyui opasdfghjkleezxcvbnmqwertyuiopas dfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklz Baktout Ayoub. Lotfi Benazzou Dadi zainab. xcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnm El Amrani loubna qwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwerty uiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasd fghjklzxcvbnmrtyuiopasdfghjklzxcvb nmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwe rtyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiop Ecole Nationale de Commerce et de Gestion-Kenitra
TOSHIBA
Effectué par :
Encadré par :
Année universitaire : 2011/2012
Conversion des comptes des entreprises étrangères ENCG-K/GFC
Sommaire ................................................................. ............................................. ............................................ .............................. ........ 3 INTRODUCTION .......................................... ............................ 4 I.PRINCIPES DE L’INT EGRATION DES COMPTES ETRANGERS ............................ 1.
........................................................ ............ 4 L’identification de la monnaie de fonctionnement fonctionnement ............................................ A. Entreprise autonome : .......................................... ................................................................ ............................................ ...................................... ................ 4 B. Entreprise non autonome ............................................ ................................................................... ............................................. .............................. ........ 6
2.
Modalités de conversion ...................................................... ............................................................................ ............................................. ....................... 7
II.LES METHODES DE CONVERSION .......................................................... ............................................................................. ................... 9 1.
Méthode du cours historique ......................................................... ............................................................................... .................................. ............ 9
a.
Méthode de conversion ......................................... ............................................................... ............................................ ...................................... ................ 9
b.
Comptabilisation des écarts ....................................................... ............................................................................. .................................... .............. 10
c.
A retenir : ............................. .................................................... ............................................. ............................................ ............................................ ......................... ... 10
2.
Méthode du cours de clôture ........................................... ................................................................. ............................................ ......................... ... 11
a.
Méthode de conversion ......................................... ............................................................... ............................................ .................................... .............. 11
b.
Comptabilisation des écarts ....................................................... ............................................................................. .................................... .............. 11
c.
A retenir : ............................. .................................................... ............................................. ............................................ ............................................ ......................... ... 12
3.
......................................... 13 L’inflation et son impact i mpact sur les groupes de consolidation .........................................
a.
Définition de la forte inflation ......................................... ............................................................... ............................................ ......................... ... 13
b.
Principes généraux................................................ ...................................................................... ............................................ .................................... .............. 13
.................................................................. ............................................ ................................ .......... 14 III. CAS D’APPLICATI ON ............................................ 1.
Quiz ........................................... ................................................................. ............................................ ............................................ ........................................... ..................... 14
2.
Etude de cas ................................................ ...................................................................... ............................................ ............................................ ......................... ... 15
Références Références bibliographiques et Webographies :.. .......................................... ............................................................... ..................... 20
2
Conversion des comptes des entreprises étrangères ENCG-K/GFC
Introduction La conversion des comptes des sociétés étrangères est un problème compliqué en raison des variations des taux de change et des différences de taux d'inflation d'un pays à l'autre, qui créent des distorsions dans les comptes de sociétés. Pour dresser une image de l'évolution de la situation d'une filiale étrangère, il faut donc à la fois tenir compte de l'incidence sur les comptes consolidés de la conversion de la monnaie de la filiale dans la monnaie de la société mère et tenir compte de la correction qui résulterait de la traduction en monnaie locale des actifs immobilisés de la filiale étrangère. En effet, cela s’impose dans le cas où une entité du périmètre établit ses comptes, et donc sa
liasse de consolidation, dans une devise différente de la devise de consolidation, il convient de les convertir dans la devise de consolidation. Dans notre exemple, si M publie ses comptes consolidés en €, et que B, se situant aux USA,
établit ses comptes en $, il sera alors nécessaire de convertir les comptes de B en € avant de les cumuler en consolidation. La problématique de conversion des comptes des entités consolidées situées à l’étranger, et
établissant leurs comptes dans une devise différente de la devise de consolidation, porte sur :
Les méthodes de conversion et les cours de change à utiliser pour la conversion,
La manière de comptabiliser l’effet des variations de cours de change d’une période à l’autre.
La question fondamentale à se poser en amont :
L’entité est-elle autonome par rapport à l’entreprise consolid ante ?
Ou ses activités ne sont qu’une extension des activités de l’entreprise consolidante ?
De la réponse à cette question découlent les méthodes de conversion :
Méthode du cours de clôture
Méthode du cours historique
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Conversion des comptes des entreprises étrangères ENCG-K/GFC
I.
Principes de l’intégration des comptes étrangers
1. L’identification de la monnaie de fonctionnement Selon l’extrait de IAS 21 §9, 10 et 11 : « L’environnement économique principal dans lequel une entité fonctionne est normalement celui dans lequel elle génère et dépense principalement sa trésorerie. En effet une entité considère les facteurs suivants pour déterminer sa monnaie fonctionnelle : La monnaie qui influence principalement les prix de vente des biens et des services (il s’agit
souvent de la monnaie dans laquelle les prix de vente de ces biens et services sont libellés et réglés) ; et du pays dont les forces concurrentielles et la réglementation déterminent de manière principale les prix de vente de ses biens et services. La monnaie qui influence principalement le coût de la main d’œuvre, des matériaux et
des
autres coûts relatifs à la fourniture de biens ou de services (il s’agit souvent de la monnaie dans
laquelle ces coûts sont libellés et réglés). Les facteurs suivants peuvent également donner des indications sur la monnaie fonctionnelle d’une entité :
la monnaie dans laquelle sont générés les fonds provenant des activités de financement (c’est-à-dire l’émission d’instruments de dette et de capitaux propres.
la monnaie dans laquelle les entrées de trésorerie provenant des activités opérationnelles sont habituellement conservées. A. Entreprise autonome : 1. Définition d’une entité « autonome »
L’autonomie d’une entreprise, dans ce contexte de conversion, s’apprécie par rapport à la société mère (ou d’autres sociétés du groupe) . Le concept clé pour juger de l’autonomie d’une entité est sa monnaie de fonctionnement
définit précédemment. En général, il s’agit de la monnaie dans laquelle elle tient ses comptes ou bien la monnaie « locale ».
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Conversion des comptes des entreprises étrangères ENCG-K/GFC
2. Critères d’autonomie
Une filiale est autonome si sa structure financière est équilibrée en monnaie de fonctionnement. C’est le cas si elle fonctionne très majoritairement avec sa devise locale, en matière d’exploitation, d’investissement et de financement.
Elle engendre des produits et supporte des charges d’exploitation qui sont pratiquement tous libellés dans sa monnaie locale
Sa trésorerie d’exploitation est donc gérée en devise locale
Elle négocie des emprunts et fait des investissements majoritairement dans sa devise locale. Exemple :
DH
La société B, située au Maroc : · effectue 80 % de ses achats et toutes ses ventes en DH. · paie ses salariés en DH . E mprunte à l’extérieur du groupe auprès de banques marocaines. B a simplement un compte courant auprès de la mère M pour les dettes d’exploitation correspondant aux 20 % d’achats effectués auprès de M et libellés en €.
En fonction des critères vus plus haut, on conclut aisément que B est autonome.
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Conversion des comptes des entreprises étrangères ENCG-K/GFC
B. Entreprise non autonome 1. Définition
L’autonomie se caractérisant par rapport à la monnaie de fonctionnement de la filiale, on se trouve dans le cas où la fille à l’étranger fait partie intégrante des activités d’une autre entité du groupe. En général, elle fonctionne dans la monnaie de la mère, mais ce n’est pas toujours
le cas. Par simplification, on considère ici qu’elle dépend de la mère pour illustrer les critères à
retenir. Ainsi une filiale non autonome mène son activité comme si elle était une extension des activités de la mère :
La monnaie de la mère est prépondérante sur le plan des opérations ou du financement de la fille,
La fille a des liens commerciaux ou financiers prépondérants avec la mère
Par exemple, elle vend uniquement des biens importés de la mère et remet à celle-ci les produits correspondants 2. Les étapes
Pour procéder à la consolidation d’une entité non autonome : Etape 1 : (obligatoire)
Dans tous les cas, la monnaie locale n’étant pas la monnaie de fonctionnement, il faut passer
par une étape de conversion de la monnaie locale à la monnaie de fonctionnement. La méthode applicable est la méthode du « cours historique ».
Etape 2 : (facultative) Si la fille n’est pas autonome et travaille dans une monnaie de fonctionnement qui n’ est pas
celle de la mère, il faudra en outre convertir dans la monnaie de la mère en appliquant la méthode du « cours de clôture ».
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Conversion des comptes des entreprises étrangères ENCG-K/GFC
2. Modalités de conversion A. Cas général
Nous pouvons schématiser ces règles ainsi :
Exemple :
Une société mère française a une filiale F1 australienne qui est aussi détenue par une société malaysienne. 1ère hypothèse : Cette société F1 a une autonomie économique et financière vis-à-vis de la
société mère française. En revanche, elle a des liens commerciaux prépondérants avec la société malaysienne.
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Conversion des comptes des entreprises étrangères ENCG-K/GFC
-
Elément de réponses : .F1 a une autonomie financière par rapport à M française La monnaie de fonctionnement = monnaie locale (différente de monnaie de M. française).
Conversion des comptes en appliquant le coût de clôture puis on consolide F1 est non autonome par rapport à M. malaysienne La monnaie de fonctionnement ≠ monnaie locale (égale à la monnaie de fonctionnement du groupe malaysien)
Conversion des comptes en appliquant le coût historique puis on consolide 2ème hypothèse : Cette société F1 a une autonomie économique et financière vis-à-vis de la
société mère française et de la société malaisienne. -
Elément de réponses
F1 es autonome par rapport à M. française et M. australienne La monnaie de fonctionnement ≠ la monnaie locale ≠ des monnaies de M. française et malaysienne
1- Conversion des comptes en monnaie de fonctionnement selon le coût historique 2- Conversion des comptes de la filiale en monnaie des deux sociétés F et M selon le coût de clôture 3- Consolidation des comptes
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Conversion des comptes des entreprises étrangères ENCG-K/GFC
II.
Les méthodes de conversion
Si la monnaie fonctionnelle et différente de la monnaie locale :
Méthode du cours historique
Si la monnaie fonctionnelle et la monnaie locale est la même :
Méthode du cours de clôture 1. Méthode du cours historique
Il existe plusieurs méthodes de conversion des états financiers des filiales étrangères. La méthode du cours historique en est une et consiste à effectuer la conversion de la façon suivante: pour les éléments monétaires, au cours de clôture ; pour les éléments non monétaires, au taux historique. En principe, les produits et les charges sont convertis au cours de change en vigueur à la date de l'opération. En pratique, ils sont souvent convertis à un taux moyen de la période. L'écart obtenu entre le résultat obtenu au bilan et celui obtenu au compte de résultat est inscrite dans le compte de résultat sous le poste "écarts de conversion".( Vernimmen 2012).
a.
Méthode de conversion
Les éléments monétaires du bilan, constitués liquidités ou des sommes à recevoir ou à payer
dont la valeur en monnaie locale est parfaitement connue (disponibilités, dettes, et créances d’exploitation,….), sont convertis au cours de clôture Les éléments non monétaires dont l’évaluation en devises locales pourra varier entre la date d’établissement du bilan et leur réalisation (ex: immobilisations, stocks), sont convertis au
cours historique .
En ce qui concerne le compte de résultat , les produits et les charges sont, en principe, convertis au cours en vigueur à la date ou ils sont constatés (cours de transaction ) ; en pratique ils sont par simplification convertis au cours moyen de la période. Les charges ou les produits relatifs à des postes du bilan convertis au taux historique, sont eux-mêmes convertis au cours historique.
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Conversion des comptes des entreprises étrangères ENCG-K/GFC
b.
Comptabilisation des écarts
Les différences résultant de la conversion sont généralement considérés comme des gains ou des pertes et sont portées au compte de résultat dans un poste particulier dénommé « écart de conversion » c. A retenir :
Bilan Actif
Passif
Immobilisations incorporelles
TH
Capital et Réserves
TH
Immobilisations corporelles
TH
Résultat
calculé
Immobilisations financières
TH
Provisions
pour
risques
et TH
charges Dettes
Stocks
TH
Créances
TC
Trésorerie
TC
Autres
Régularisation actif
TC
TH TH
Régularisation passif
TM : Taux moyen ; TC : Taux de clôture ; TH : Taux historique.
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TH
Conversion des comptes des entreprises étrangères ENCG-K/GFC
Compte de résultat
Produits encaissés
TM
Charges décaissés
TM
Produits calculés
TH
Charges calculées
TH
Ecart de conversion
Oui
Résultat
Celui du bilan
2. Méthode du cours de clôture a. Méthode de conversion Tous les éléments d’actif ou de passif du bilan – monétaires ou non monétaires- sont convertis
au cours de clôture. Par exception, les capitaux propres de la filiale étrangère sont convertis au cours historique ce qui met en évidence un écart de conversion entre cours de clôture et cours historique. Pour le compte de résultat, les produits et les charges sont convertis soit au taux de clôture, soit au taux moyen b. Comptabilisation des écarts
Les écarts de conversion constatés tant sur les éléments du bilan que sur ceux du compte de résultat si ce celui-ci est converti au taux moyen sont portés dans les capitaux propres au poste « écart de conversion ». Ils sont ensuite répartis entre les intérêts du groupe et ceux des minoritaires.
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Conversion des comptes des entreprises étrangères ENCG-K/GFC
c. A retenir :
Bilan Actif
Passif
Immobilisations incorporelles
TC
Capital et Réserves
TH
Immobilisations corporelles
TC
Ecart de conversion
Oui
Immobilisations financières
TC
Résultat
TM ou TC
Provisions pour risques et charges
TC
Dettes
TC
Stocks
TC
Créances
TC
Trésorerie
TC
Autres
Régularisation actif
TC TC
Régularisation passif
TH
TM : Taux moyen ; TC : Taux de clôture ; TH : Taux historique.
Compte de résultat
Produits encaissés
TM ou TC
Charges décaissés
TM ou TC
Produits calculés
TM ou TC
Charges calculées
TM ou TC
Ecart de conversion
Non
Résultat
TM ou TC
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Conversion des comptes des entreprises étrangères ENCG-K/GFC
3. L’inflation et son impact sur les groupes de consolidation a. Définition de la forte inflation
Critères de forte inflation (liste non limitative) :
Les ventes et les achats à crédit sont conclus à des prix qui tiennent compte de la perte de pouvoir d'achat attendue durant la durée du crédit, même si cette durée est courte ;
Les taux d'intérêt, les salaires et les prix sont liés à un indice de prix ;
Le taux cumulé d'inflation sur trois ans approche ou dépasse 100 % ;
Les prix sont souvent exprimés dans une monnaie étrangère relativement stable, plutôt que dans la monnaie locale. b. Principes généraux
La monnaie d'un pays à forte inflation ne peut pas servir de monnaie de fonctionnement. Toute entreprise non autonome suit la règle générale (méthode du cours historique étudiée précédemment). Pour une entreprise autonome, le choix est possible entre deux méthodes : Soit cette entreprise applique la méthode du cours historique pour passer en monnaie de fonctionnement, celle-ci étant la monnaie étrangère communément utilisée dans le pays où, à défaut, la monnaie utilisée pour la consolidation ; Soit l'entreprise consolidante applique la méthode du cours de clôture aux comptes de l'entreprise étrangère, corrigés préalablement des effets de l'inflation. La correction préalable, pour tenir compte de l'inflation, est effectuée au moyen d'indices reflétant les variations générales des prix.
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Conversion des comptes des entreprises étrangères ENCG-K/GFC
III.
Cas d’application 1. Quiz
Pour convertir les comptes d'une entité ayant une autonomie économique et financière, on utilise la méthode du :
cours de clôture cours historique
Lors de la conversion des comptes d'une entité ayant une autonomie économique et financière, l'écart de conversion sur la situation nette d'ouverture est affecté
aux capitaux propres au résultat
Lors de la conversion des comptes d'une entité ayant une autonomie économique et financière, la conversion du résultat et des postes du compte de résultat se fait au
taux moyen taux historique taux de clôture
La norme IAS 21 distingue
la méthode du cours historique la méthode du cours de clôture la monnaie locale la monnaie de fonctionnement la monnaie de présentation
Pour convertir les comptes d'une entité n’ayant pas d'autonomie économique et financière, on utilise la méthode du cours de clôture cours historique
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Conversion des comptes des entreprises étrangères ENCG-K/GFC
Dans la méthode du cours historique le résultat est obtenu par différence entre les postes d'actifs et de passifs convertis le résultat est converti au cours moyen puis reporté dans le bilan
Dans la méthode du cours de clôture le résultat est obtenu par différence entre les postes d'actifs et de passifs convertis le résultat est converti au cours moyen puis reporté dans le bilan
2. Etude de cas La société F1est une filiale du groupe marocain. SM a une participation de 80% dans le capital de la société F1 et il la consolide par intégration globale. Les données de la société F1 sont présentées ainsi. (Dont la monnaie est X)
Actif Postes
Valeur brute
Amortissement
Valeur nette
Ou provision Immobilisation corporelles
1 200 000
80 000
400 000
Stocks
650 000
15 000
500 000
Clients
2 620 000
20 000
2 600 000
Disponibilités
120 000
120 000
Charges à repartir
80 000
80 000
Total
4 670 000
970 000
15
3 700 000
Conversion des comptes des entreprises étrangères ENCG-K/GFC
Passif Postes
Montant
Capital
800 000
Réserves
250 000
Résultat
190 000
Provisions pour risques
50 000
Emprunts
280 000
Fournisseurs
1 840 000
Autres dettes
290 000
Total
3 700 000
Tableau des immobilisations
Année
Valeur
Amortissements
D’acquisition
Brute
1/1
Dotation
31/12
N_4
1 000 000
710 000
50 000
760 000
N_2
100 000
20 000
10 000
30 000
N
100 000
10 000
10 000
Total
1 200 000
70 000
800 000
730 000
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Conversion des comptes des entreprises étrangères ENCG-K/GFC CPC
Postes
Montant
Chiffre d’affaire
4 820 000
Total produits d’exploitation
4 820 000
Achats de marchandises
3 340 000
_ Variation de stocks
300 000
Autres achats et charges externes
420 000
Salaires
360 000
Charges sociales
100 000
Impôts et taxes
70 000
Dotations aux amortissements des immobilisations
70 000
Dotations aux provisions des actifs circulants
150 000
Dotations aux amortissements des charges à répartir
30 000
Total charges d’exploitation
4 240 000
Résultat d’exploitation
580 000
Produits financiers
20 000
Intérêts et charges assimilés
90 000
Résultat financier
-70 000
Résultat courant
510 000
Charges exceptionnelles sur opérations de gestion
190 000
Dotations aux provisions
50 000
Résultat exceptionnel
-240 000
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Conversion des comptes des entreprises étrangères ENCG-K/GFC
Impôt/société
-80 000
Résultat net
190 000
Information sur les stocks
Année N-1
Année d’origine
Année N
Valeur
Provision
Valeur
Provision 150 000
N_2
170 000
150 000
N_1
180 000
80 000 420 000
N TOTAL
350 000
650 000
150 000
Provisions clients constituées en n_1 pour 20 000. Provisions pour risques : 50 000 constituées dans l’exercice Informations sur les charges à répartir
Année
Valeur brute
Amortissement
Valeur nette
d’origine
1/1
Dotation
31/12
N_2
100 000
30 000
20 000
50 000
50 000
N_1
50 000
10 000
10 000
20 000
30 000
Total
150 000
40 000
30 000
70 000
80 000
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Conversion des comptes des entreprises étrangères ENCG-K/GFC
Détails des réserves
Année d’origine
Montant
N_5
10 000
N_4
-20 000
N_3
30 000
N_2
190 000
N_1
40 000
Total
250 000
Cours de change utilisés
Cours de clôture N_6
2,00 DH
N_5
2,20 DH
N_4
2,30 DH
N_3
2,60 DH
N_2
2,90 DH
N_1
3,10 DH
N
3,30 DH
Cours moyen N
3,20 DH
Travail à faire :
1) Procédez au cumul des données en appliquant la méthode du cours de clôture. Il a été décidé d’appliquer le taux moyen pour les charges et les produits au cours de 3.20 DH.
2) Procédez au cumul des données en appliquant la méthode du cours historique.
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Conversion des comptes des entreprises étrangères ENCG-K/GFC
Références bibliographiques et Webographies :
La consolidation des comptes : normes IFRS et comparaison avec les principes français actuels, Dominique Mesplé-Lassalle.
Les comptes consolidés : IAS-IFRS et la conversion monétaire, Evlyne Gurfein.
http://www.comptalia.tv
Cours ENCGT.
http://www.scribd.com/doc/48271300/La-consolidation-en-IFRS-2
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