auvegarde auvegarde des E nseignements nseignements T raditionnels raditionnels et I nitiatiques S
ADRESSE AUX ETUDIANTS DU FUTUR
« … N ous ous qui, qui , en cet cet t e ann anné e 1936 1936,, const constii t uons ons le le dou douzi è me degré degré de ce pré pr é sen sent cycle cycl e, nous ous n'avons n'avons aucun moye moyen n absol absolu u ou posi posi t i f de conn connaî aît re qui pourr pourront ê t re l es fut f ut urs urs é t udiant udi antss de ces monograph monographii es, mais mai s nous nous somm somme es heu heureux de pré pré pare par er des l eçons et et des ent ret i ens qui qui non seule ul ement nous prof profii t eront , ànous-mê nous-mê mes, àl àl 'é poque pré pré sent e, mais mai s qui auront aur ont aussi de l a val vale eur pour pour vous, myst yst i ques ques et rosi osi crucie cruciens inco inconnu nnuss de notre not re prochai prochaine ne i ncar ncarnati nat i on et et de notre not re prochai prochain n cycl cycl e. N ous ous vou vouss demando demandon ns de ne pas pas consi consid dé rer ces ces monogr monograp aphi hi es comme anci ancienn ennes es et dé suè suè t es parce par ce qu qu'el l es ont é té é cri cri t es et et pré pr é paré par é es cen cent , deux ou t rois oi s cen cent s ans ans avan avantt votr ot re naiss nai ssan ance ce.. N ous ous aussi, aussi, auj aujourd' our d'hu huii, é t udi udi ons d'apr d'aprè è s des archi archivves, des l eçons et et des ent ret i ens qui f ure ur ent é cri cri t s ilil y a un un siè si è cle cle, cin cinq siè siè cle cles et et un mil mil l i er d'an d'ann né es de cel cel a, et nous const constat aton onss que le l es vé vé ri t é s que vous vous lil i sez dan dans ces l eç ons, ons, àdes cen cent ain ai nes d'an d' ann né es du t emp emps pré pré sen sent , sont sont t out out aut aut ant ant des vé vé ri t é s àvotr ot re é poque oque qu'el qu' elll es l e sont sont en ce mome moment nt mê me ou nous nous le les i nt rodui odui sons dans dans ce ces monogr monograph aphii es, aprè apr è s l es te t est s et l es essai ssaiss le les plus plus st ric ri ct s. Chaque jour, our, en en t ant qu'I mperator at or de l'or l'ordr dre e et maît re per personnel onnel de l a cl cl ass asse d'é d'é t udiant udi ant s du douzi douz i è me degr degré é , je peux peux f ermer l es yeux yeux et proj proje et er ma consci conscie ence vers une une vi l l e l oint oint aine ai ne et vers la la maiso maison n d' d'un membre é l oigné oigné , en ut i l i sant l es f ormul ormule es que ces ces monogr monographi aphie es conti cont i enne nnent et je peux peux me rendr ndre visi vi sibl ble e àun é t udi udi ant ant dans dans ce ce l i eu é l oigné oigné et l ui donne donner un t rait ai t ement qui amé l i ore orera sa san santt é ou qui l 'ass assi st era en en d' d'aut res voie voies. D e mê me qu'il qu'i l peut peut me voir oir et me sent i r, conf conf ormé ment aux f ormule ormul es et aux i nstr nst ructi uct i ons de ces monogr monographi aphie es, de de mê me, f ratr at res et soror orore es i nconnus nconnus, vous vous pour pourrrez f air ai re l a mê me chose chose avec ce ces mê mê mes for f ormul mule es et et l eçons dans dans cent ans, ans, cinq ci nq cent cent s ans ou un mil mil l i er d'ann d'anné é es d'i d'i ci. ci. […] V ous, ous, f ut urs é t udian di antt s, i nconnu connus de nous nous mai main nt enant ant , et mê me i nsoupçonné onné s mai maiss né anmoi anmoin ns respect specté é s comm comme e nos ouvr ouvri ers per personn sonne el s dans dans la la t âche de perpé perpé t uer ce grand grand t ravai availl , vous ne ne dev devez pas pense penserr que que ces ces le leçons ons et et ces ces mon monogr ograp aphi hie es son sontt i nf é ri eure eures parce par ce qu' qu'el les ont ont é té é cri cri t es ent re 1925 1925 et 1936 ou parce parce qu'e qu'el l es ont ont un st yle yl e de l angage angage peut peut -ê t re dif di f f é rent de cel ui que l a me ment ali ali t é populai popul airre peut peut avoir avoi r ou que peuve uvent dis di scute cut er l es savant savant s, l es phil phil osophe osophess et l es expé ri ment ate at eurs urs. Et udie udi ez-l z-l es consc conscii encie nci eusement , en en met met t ant honnê t ement chaque chaque pri pri ncipe ncipe àl 'essai, ai , et vous dé couvr couvri rez que le les se secre cret s d'au d'aujjourd' our d'hu huii, qui é t aie ai ent des des se secre cret s ilil y a des cent cent aines ai nes d'an d'anné né es, ser seront encore des des se secrets cret s, i nconnus nconnus de l a ment ali al i t édes des mas massses, dans mi mi l le ans d'i d'i ci, ci, car chaque cycl cycle e de civ civi l i sati at i on a ses incr incré é dul es et et ses sce scept i ques ques et et comprend comprend de des ge gens qui ne connaî connaît ront pas le les grande grandess vé ri t é s secrè crè t es de l a vi vi e, quell quell e que soi soitt l eur instr nst ruct i on en d'aut d'aut res domai domain nes. »
Harvey Spencer Spencer LEWIS LEWIS Monographie n°120 n°120 du 12ème Degré Degré
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Rituel du temple pour les convocations ré guliè res - HSL
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RITUEL DU TEMPLE POUR LES CONVOCATIONS REGULIERES - HSL (Note : De manière à faciliter la lecture, les paroles prononcées par les officiers ont été mises en italique gras) ENTRÉE DES MEMBRES Quand le temple est dûment préparé et exactement à l'heure fixée, le gardien frappe une fois sur le gong. Se tenant près de la porte du temple, il dit : GARDIEN EXTÉRIEUR : «Que tous les frères et sœur s du S.E.T .I ., Cé nacle de la Rose+Croix, por tant sur eux leur tabl ier, veui llent bien se pré senter àce portai l et donner les preuves de leur affiliation ou é tablir de toute autre maniè re leur droit àl'admi ssion dans notr e templ e sacr é »
INSTRUCTIONS MUSIQUE : Chaque membre présente ses pièces justificatives et entre aussitôt, fait la salutation à l'est et va s'asseoir. Dès que le gardien extérieur frappe le premier coup de gong, de la musique classique appropriée sera jouée dans le temple. Cette musique ne doit pas nécessairement être jouée à ce moment dans un but de méditation. RITUEL INSTRUCTIONS : quand tous les membres sont entrés, le gardien extérieur frappe encore sur le gong, une fois et fortement. Il arrête à ce moment tout retardataire, jusqu'à ce que la cérémonie d'ouverture soit achevée. Quand celle-ci est terminée, le gardien extérieur peut entrer dans le temple et s'asseoir à côté de la porte du temple, pour écouter l'entretien officiel. Quand le gong a retenti, la musique est aussitôt interrompue. Le coup de gong indique que les officiers du rituel qui attendaient dans la chambre du seuil peuvent entrer. Ils le font dans l'ordre suivant : maître, chapelain, chanteuse et chanteur. Ils avancent l’un derrière l'autre, à une distance d'environ trois pas l'un de l'autre. A son entrée dans le temple, chaque officier du rituel fait la salutation à l'est devant la shekinah et gagne sa place; il reste debout jusqu'à ce que tous les officiers soient arrivés à leur station. Dès que le chanteur a fait son salut, le gardien intérieur fait de même et va à sa station. Tous les officiers peuvent alors s'asseoir. Les positions des différents officiers dans le temple sont les suivantes : Maître : Chapelain : Chanteuse : Chanteur : Gardien intérieur : Mater
Est Sud Nord: Sud ; à droite du Chapelain Nord ; à droite de la Chanteuse Ouest
CHAPELAIN : Dès que les officiers sont assis, on frappe sur le gong deux fois. Le chapelain se lève alors et dit : «F rè res et sœurs, levez-vou s !"
MUSIQUE : A cette phase du rituel, une musique appropriée sera jouée pour l'entrée de la colombe. "Secreto Eterno" est le plus indiqué. Cénacle de la Rose+Croix - Site Internet : http://www.crc-rose-croix.org
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INSTRUCTIONS POUR LA COLOMBE : Quand de la chambre du seuil, la Colombe entend : « Levez-vous », elle attend que tout le monde soit debout et elle entre dans le temple en portant l'encensoir dans lequel on aura mis auparavant de l'encens bien allumé. Elle marche lentement, au rythme de la musique, vers l'est du temple, en passant par le nord et sans balancer l'encensoir. Quand elle est proche de l'est, elle tourne à angle droit, va au centre du sanctum, devant l'urne de la vestale et fait face à l'est. Là, elle fait balancer son encensoir lentement et de façon égale, de droite à gauche, trois fois et demie, ou sept fois. Elle continue à balancer l'encensoir pendant sa marche. Partant de l'urne de la vestale vers le sud, elle tourne à angle droit et se dirige vers la station du Chapelain. Là, elle se tourne et faisant face à la station, elle balance son encensoir, sept fois. Ce geste est répété aux stations de l'ouest et du nord. La Colombe balance son encensoir de façon lente et rythmique, à partir du moment où elle part de l'urne de la vestale, jusqu'à ce qu'elle soit retournée à sa place. Lorsqu'elle y arrive, elle accroche son encensoir à la colonne dorique et s'assied. (Quand la colombe balance son encensoir devant une station, l'officier occupant cette station incline la tête .) MUSIQUE : La musique est interrompue à ce moment-là. CHAPELAIN : quand la colombe est assise, le chapelain dit : « F rè res et Sœurs, asseyez-vous ! »
INSTRUCTIONS : le chapelain excepté, tout le monde, y compris les officiers présents dans le temple, s'assoit. Le chapelain, avec une intonation lente et naturelle, lit alors ce qui suit. A ce moment-là, on jouera de la musique pour l'allumage des bougies. Le solo pour orgue, intitulé " Chant du soir ", de Schumann, est recommandé. CHAPELAIN : le chapelain lit son texte accompagné de la musique pendant que la colombe se dirige vers la shekinah. Lorsque la colombe entend la musique elle se lève, et tandis que le chapelain parle, elle prend une bougie non allumée, placée près de son siège, et l'allume à la flamme sacrée de la colonne dorique. Elle tient la bougie allumée devant elle, à environ 25 ou 30 cm, sa main au niveau de l'épaule, et marche lentement, en harmonie avec la musique, vers l'ouest en passant par le côté nord du temple. Après avoir fait trois ou sept pas au-delà de la shekinah, suivant les dimensions de la pièce, elle tourne à gauche, se dirige vers le centre du temple du côté de l'ouest, puis, faisant face à l'est, compte trois ou sept pas vers la shekinah. Elle s'arrête sur le côté nord-ouest de la shekinah faisant face au sud-est, et tenant la bougie allumée au centre de la shekinah, de telle sorte qu'elle soit à la même hauteur que les autres bougies. Pendant que la Colombe porte la bougie en se dirigeant vers le shekinah, le chapelain continue à parler, synchronisant ce qu'il dit de telle manière que la Colombe arrive près de la shekinah au moment précis où il commence la phrase précédant le signal pour allumer la première bougie. Le Chapelain frappe une fois sur le xylophone ou le gong, comme signal à la colombe. COLOMBE : A ce signal, la colombe allume immédiatement la bougie placée à l'angle Sud-Est de la shekinah. CHAPELAIN : « L'ê tr e n' a jamai s eu de commencement, car le né ant ne peut donner nai ssance àquelque
chose. L 'obscuritérempl issait tout avant que la lumiè re fût ; mais la l umiè re ne vint pas des té nè br es, car les té nè bres sont l’ absence-même de la l umiè re. La l umi ère est un attribut de l’ Être, car l’ Être est toujour s lumi neux, en r aison du rayonnement de son é nergie qui ré sul te de ses efforts incessants pour conserver son existence. La lumi è re é tai t sans chaleur, et l’ Être é tai t l ui aussi insensibl e La l umiè re ne se ré flé chissait pas et l ’ Être, par consé quent, é tai t sans for me »
(faire une pause)
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«L’ Êtr e, dans son mouvement et dan s son pr ogr è sé ternels, s’é tendit de plus en pl us. M ul tiples devinrent ses formes et compl exe sa natur e. L a complexi técroi ssante de l’ Êtr e donna naissance àla densité , et la densitéfit sorti r la chaleur de la L umière. Al ors les choses vivantes commencèrent d’ exister »
Le Chapelain fait retentir le xylophone ou le gong. CHAPELAIN : «Avec la vie, vint la sensibilitéde l' êtr e é vol uant vers la splendeur de la ré al isation du soi »
De nouveau, le Chapelain fait retentir le xylophone ou le gong.
COLOMBE : A ce second signal, la colombe allume la bougie placée à l'angle Nord-Est de la shekinah. CHAPELAIN : « Dans la conscience de l' homme se reflé tèrent les gloi res de l'Uni vers. L 'Être prit au fond de lui -même un e forme sensible et l' esprit lu i assigna ses dimensions. Alors la lumi è re se mi t àbriller car , pour la premiè re fois, elle ré flé chissait sa propre nature . »
Le chapelain fait encore retentir le xylophone ou le gong. Lorsque la colombe a allumé la troisième bougie, le chapelain peut s'asseoir. INSTRUCTIONS-POUR LA COLOMBE : après le troisième coup de xylophone ou de gong, la colombe allume la dernière bougie placée à l'angle ouest de la shekinah et, pendant un instant, place la bougie qu'elle tient au centre de la shekinah, pour symboliser un triangle achevé. Tournant vers le sudouest, elle fait un pas en direction de la pointe ouest de la shekinah, fait face à l'est, tout en tenant la bougie allumée dans la position précédente, et compte trois ou sept pas en arrière, suivant ce qui a été décidé en raison des dimensions de la pièce. Ensuite, elle se retourne et marche vers le nord, se retourne à nouveau, et, par le côté nord, regagne sa place à l'est, où elle place la bougie après l'avoir éteinte, et s'assoit. MUSIQUE : (La musique est interrompue). Lorsque la colombe est assise la Mater se lève et dit : MATER : « fr ères et sœurs, tout comme une rivière qui , pr ès de sa sour ce dans l a montagne, é ti ncelle davantage encor e lor squ’ elle se tr ouve exposé e aux r ayons du soleil, de même notre conscience sera illuminé e davantage si nous la dir igeons vers la plus gran de lumière. Qu’ il en soit ainsi ! »
TOUS LES OFFICIERS :DANS LE TEMPLE "Qu’i l en soit ainsi ! "
MAÎTRE : il se lève et dit : «Je demande donc solennellement que nous nous consacrions a ce tr avail , en ce li eu sacre ».
Le Maître s'assied.
CHAPELAIN : Il se lève et dit : « Gardien inté rieur s'il a des frè res et sœur s qui attendent au portail, r eçois les main tenant ». dans notr e temple sacré
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INSTRUCTIONS POUR LE GARDIEN INTERIEUR : Le gardien intérieur vérifie si des membres déjà examinés par le gardien extérieur, à la porte attendent. S'il y en a, il les informe de la manière d'entrer dans le temple, de s'approcher de la shekinah, de faire la salutation à l'est et de prendre un siège. Le gardien intérieur fait ensuite face au chapelain et dit : GARDIEN INTERIEUR : « Les frè res et les sœurs qui attendai ent ont é téadmis et l e templ e est couvert ».
S'il n'y a pas de membre, le gardien intérieur fait face au chapelain et dit : « Chapelai n personne ne dé sir e entrer. »
CHAPELAIN : Après une courte pause, il dit : « I l faut que nous soyons dirigé s et c’ est notre vé né rabl e maîtr e qui nous servira Gar dien i nté rieur ! Salue-le et condui s-le vers nous ! »
Il reste debout GARDIEN INTERIEUR : « Cela sera fai t. »
Le gardien intérieur va de sa station nord à l'antichambre et ferme doucement la porte derrière lui Quand il est dans l'antichambre, si le maître est prêt à. entrer, il en informe le gardien extérieur et ce dernier frappe le gong trois fois. CHAPELAIN : Quand le gong a été frappé trois fois, le chapelain dit : « Levez-vous et formez la loge, en pl açant la main gauche sur le coeur et l a droi te sur la ». (C'est la façon traditionnelle et symbolique de former la loge). gauche
Tout le monde se lève et forme la loge.
MUSIQUE : De la musique est jouée pour l'entrée du maître. INSTRUCTIONS POUR LE MAITRE : Le maître venant de la chambre du seuil, suivi par les gardiens, s'approche de la shekinah, en marchant à angles droits et fait la salutation l'est. Ensuite, de la shekinah il avance vers l'est, il fait le signe de croix rosicrucien, puis il va à l'autel et allume les lumières ornementales de l'est et sa lampe de lecture. INSTRUCTIONS POUR LE GARDIEN INTERIEUR : Dès que le maître a quitté la shekinah, le gardien intérieur retourne à sa station et le gardien extérieur se tient debout près de sa chaise à la porte du temple. Ils n'ont pas à faire de salutation à l'est. MAÎTRE : « Uni ssons-nous tous dans la pr iè re. »
Le maître peut faire n'importe quelle prière ne dépassant pas cinquante mots. Il peut employer une prière différente à chaque réunion. La prière ne doit pas être de nature religieuse. Le Maître conclut la prière par ces mots : Cénacle de la Rose+Croix - Site Internet : http://www.crc-rose-croix.org
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« Qu' il en soit ain si »
L'assemblée des membres répète « Qu' il en soit ainsi ». Le maître dit alors. « Asseyez-vous, je vous prie ! »
Quand tout le monde est assis, le maître poursuit : INSTRUCTION POUR LE CHANTEUR ET CHANTEUSE : Ils se lavent et commencent à entonner les sons de voyelles comme expliqué dans le document intitulé Sons de voyelles pour Loges et Chapitres de l'Ordre de la Rose+Croix ". A chaque convocation, il doit être donné des explications sur un groupe différent de sons de voyelles et il doit être entonné trois sons de voyelles. Les groupes de sons de voyelles doivent être permutés, comme il est expliqué dans ledit formulaire. MAÎTRE : Quand le chanteur et la chanteuse s'assoient, le Maître dit : « Nous venons ici , en ce lieu rendu sacrépar nos pensé es et notre conduite, consacr er notr e
cœur et notr e esprit àla communion avec le cosmi que et avec nos frères et sœur s sur toute la sur face de la Terre. Par ces temps tumul tueux où nous vivons dans un monde de combat, notr e conscience tr ouve asile, ici, dans cette ambiance harmoni euse. Pour é lever notre consci ence vers ce degréd’ extase et d’ har monie où ell e peut se libé rer de l’ empr ise des contingences maté rielles, le chanteur et l a chanteuse de notr e templ e vont nous assister dans l’ intonati on de sons de voyelles qui produi ront l es condi ti ons vibr atoires né cessaires. Commencez, chanteur et chanteuse ! »
Le maître peut s'asseoir à l'est pendant l'intonation des sons de voyelles. Il peut aussi se retirer dans une alcôve s’il y en a une. Une fois terminé les intonations de sons de voyelle, le Maître reprend la parole : « Chanteur et chanteuse, nous vous remercions pour votre aide. Nous sommes maintenant
pr êt pour notre pé riode de mé di tation et nous nous sommes é levé s àun pl an psychique et é motionnel où nous pouvon s accompl ir la pr ojection et la r é ception de la pensé e. Je vous demande de rester parfaitement dé tendus pendant les cin q pr ochai nes minu tes, tan dis que le templ e est char gédes é nergies vibr atoire é tablies par les sons de voyelles. Vous dirigerez, pendant l a premiè re moiti éde cette pé riode, vos pensé es de paix et d' har monie, de bienveillance et de santé , non pas d' une façon dé finie, vers u n individu ou une personnalitédé termi né e,, mais vous l es laisserez s'irradier de vous-mêmes comme les irradiati ons de la lumiè re dans une chambre obscur e. Pendant la seconde moitiéde cette pé riode de mé ditation, restez absolu ment passifs, n’ essayez pas de tr ansmettr e ou d’ irradier quelque chose, mais soyez ré ceptifs et eff orcez-vou s d’ êtr e conscients de toutes les impr essions que vous pouvez recevoir. »
MUSIQUE : En ce qui concerne la musique de méditation, la. Loge Mère recommande des morceaux symphoniques ou pour orgue. En plus des morceaux pour la méditation de la première moitié de la période, on doit jouer pendant la deuxième le « Ah! doux Mystère de la Vie !» La période de méditation ne doit pas dépasser cinq minutes.
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INSTRUCTIONS POUR LE MAITRE : De sa station, le maître éteint toutes les lumières du plafond, toutes celles des stations et celles de l'est. Seules les bougies sur le shekinah devront rester allumées. Pendant les cinq minutes de méditation, le maître s'assied à l'est ou se retire dans une alcôve proche de sa station. A la fin de la période de méditation, un signal est donné; on allume alors les lumières tamisées du temple et le Maître regagne sa place à l'autel de l'est et dit : NOTE IMPORTANTE : SI LE CHAPITRE OU LA LOGE RECOIT UN VISITEUR DE MARQUE, LE "RITUEL SPECIAL POUR CERTAINES CONVOCATIONS DE LOGE OU DE CHAPITRE DOIT ETRE UTILISE A PARTIR D’ICI
MAITRE : « Nous en venons maintenant ànotre travail de ce soir. Lorsque vous retournerez aux
té nè br es exté rieur s mé ditez sur ce que nous aurons dit et f ait et puisse le cosmi que vous assister dans vos eff orts ! »
Lisez la leçon officielle de la soirée, en vous rappelant que-le temps cumulé pour la cérémonie, la période de méditation, la lecture de l'entretien officiel, les questions et les réponses et la présentation des visiteurs, ne doivent pas dépasser une heure et demie. INSTRUCTIONS : tout de suite après la lecture de l'entretien officiel, il y aura une courte période de méditation, ne dépassant pas deux minutes et demie. Cette période sera introduite comme suit par le maître : MAITRE : « Mé ditons brièvement sur les aspects rosicr uciens de la communicati on de ce soir et envoyons ». nos pensé es de paix àceux qui conduisent l es desti né es de ce mon de tr oublé
INSTRUCTIONS : pendant cette période de méditation, il sera joué doucement une musique appropriée. A la fin de cette période de méditation, le maître demande si des frères ou des sœurs désirent poser des questions sur le sujet traité ou le commenter. Permettez un bref commentaire de la part de ceux qui se lèvent.. ROUTINE DES CONVOCATIONS : Si une expérience est prévue, elle doit être effectuée maintenant sous la direction du maître. Le secrétaire lit ensuite les communications importantes reçues. Aucune affaire ne sera cependant débattue, excepté aux réunions d'affaires mensuelles des officiers et du conseil administratif. MAITRE : Le maître dit maintenant : « Notr e convocati on est-elle honoré e de la pr é sence d' un officier de loge ou de chapi tr e de l'Ordre de la Rose+Cr oix ? Si tel est le cas, qu'il veuil le bien se lever ».
Allumez la lumière blanche et si quelqu'un se lève, le maître lui demande de s'identifier et de dire d'où il vient. Il demande à tous ceux qui sont présents de faire la connaissance du frère ou de la sœur en visite, après la convocation. Le maître donne aussi au visiteur l'opportunité de dire quelques mots. Si aucun officier en visite ne se lève, ou bien quand il sera assis, le maître dit : Cénacle de la Rose+Croix - Site Internet : http://www.crc-rose-croix.org
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MAITRE : « Y a-t-il parmi nous des frè res ou des sœur s qui nous visitent pour la premi ère fois ?
Si quelqu'un se lève, le maître lui demande de s'identifier et de dire quelques mots. Il lui souhaite la bienvenue. Après que les. Visiteurs éventuels se seront nommés et auront été accueillis par le Maître, la lumière blanche du plafond est éteinte. « F rè res et sœurs : l evez-vous et faites face àl' est !
Attendez que les membres se soient mis debout. « F ormez la Loge en pl açant l a main gauche sur votre coeur et la droi te sur la gauche… notre
convocation sacré e est maintenant terminé e. Soyons toujours consci ents de la lumi è re sacr é e qui vient de nous êtr e conf ié e... qu’ il en soit ainsi ! »
OFFICIERS ET MEMBRES : «Qu'il en soit ai nsi ! »
Laisser aussitôt retomber les bras sur les côtés. MAITRE : Eteignez les lumières de l'est et des lutrins; retournez-vous vers l'est, faites le signe de croix rosicrucien et, lentement, sortez du temple, par le coté sud, en passant par un point, vers le nord, entre le shekinah et l'ouest, pour aboutir à la chambre du seuil. INSTRUCTIONS POUR LE GARDIEN INTERIEUR : le gardien intérieur ouvre la porte de la chambre du seuil pour la sortie du maître dés que celui-ci s'en est approché. Le gardien extérieur suit. On pourra jouer de la musique pour la sortie du maître et continuer à en jouer jusqu'à ce que tous les membres soient sortis du temple. GARDIEN EXTERIEUR: dès que le maître est entré dans la chambre du seuil, le gardien extérieur frappe le gong deux fois et fortement. INSTRUCTIONS POUR LA COLOMBE : lorsque le gardien extérieur frappe deux fois sur le gong, la colombe quitte son siège, marche lentement en direction de la shekinah, éteint les trois bougies avec un moucheur. On ne doit jamais souffler sur les bougies pendant un rituel. Les bougies sont éteintes dans l'ordre inverse de celui dans lequel elles avaient été allumées, c'est-à-dire qu'elle éteint maintenant la bougie de l'ouest d'abord, celle du nord-est ensuite, et enfin celle de la pointe sud-est. La colombe marche ensuite à reculons, faisant trois ou sept pas, tourne vers la gauche et sort du temple par la chambre du seuil. GARDIEN EXTERIEUR: dès que la colombe est sortie du temple, le gardien extérieur frappe une fois sur le gong. SORTIE DES OFFICIERS : précédés par la Mater, les officiers de la station nord sortent en rang par la chambre du seuil; ceux du sud en sortent par le côté sud et se rendent dans la chambre du seuil en passant par l'antichambre. Après la sortie des officiers, on frappe sur le gong une nouvelle fois. SORTIE DES MEMBRES : les membres sortent maintenant du temple par l'antichambre, sans traîner et sans se parler. Les lumières du plafond ne sont pas allumées. Les tabliers sont remis à l’hôtesse dans l'antichambre. Cénacle de la Rose+Croix - Site Internet : http://www.crc-rose-croix.org
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